« Les déboires du nucléaire depuis les années 1990 reflètent en fait sa “normalisation” »
Invoquer « la perte d’ambition et de savoir-faire » du nucléaire français par rapport à un supposé âge d’or des années 1970, c’est oublier les causes réelles de la crise que traverse le secteur, rappelle Jean-Baptiste Fressoz dans sa chronique.