Le gouvernement Barnier survit à une première motion de censure grâce à l’extrême droite
Les élus des quatre groupes du NFP n’ont été rejoints que par cinq autres élus. De son côté, le RN a assumé de ne pas censurer « car c’est inutile à ce stade » : « Un seul tweet de Marine Le Pen suffit à infléchir la position du premier ministre ! »